Durée: 105 minutes. Réalisateur : Farid Kounda. Année : 2016. Résumé. Ce documentaire offre une plongée au sein de l'équipe de France, lors des semaines qui ont précédé le lancement de l'Euro 2016 et pendant toute la Euro2016 : pourquoi vous auriez dû voir venir l'Islande, futur adversaire des Bleus pour les quarts de finale Iggy Pop, Les Insus et Louise Attaque au Main Square Festival ce week-end L Euro 2016 : Au coeur des Bleus » fait revivre ce mois enchanté où les footballeurs ont enthousiasmé la France avec leur panache et leurs victoires. Comme dans « les Yeux dans les Bleus Unefinale France – Italie historique. Historique ! Un doublé Coupe du Monde – Euro obtenu au bout d’une nuit historique en cette soirée du 2 Juillet 2000 à Rotterdam. Deux ans après son premier titre mondial, la France remporte le Championnat d’Europe des nations, un doublé qu’aucune équipe n’avait réussi avant elle. LEuro 2016 aura donc suscité 30% de paris en ligne en plus que la Coupe du Monde 2014, qui avait engendré 109 millions d’Euros d’enjeux sur les sites et applications des différents Unedéfaite cruelle. Las, les Bleus ont levé le pied en seconde période et se sont laissés entraînés dans un faux rythme. Les scories se multipliaient des deux côtés, même si le premier . Dyrektor Farid Kounda Runtime 1 godzina 30 minut Gatunek Dokument Język Francuski 28 December 2016 53 członkowie football french national team bleus euro 2016 Immersion among "Les Bleus" during the EURO 2016, international football competition which take place in France in summer 2016. Trainings, day-to-day life, tactical discussions, talks before the games or instructions at hafl-times Didier Deschamps' squad confide in us like hardly ever. Podobne filmy 15 Les Bleus partent en vacances, après un déjeuner à l'Élysée et un mini-bain de foule lundi au lendemain de la défaite en finale de l'Euro contre le Portugal, qui prive le pays de la parenthèse enchantée dont il discours à huis clos du président François Hollande "a fait chaud au coeur" aux Bleus après cette défaite "très, très dure", a commenté Olivier Giroud. A la sortie de l'Élysée, l'attaquant d'Arsenal a avoué être "assez impressionné par cet établissement".Les 23 Bleus, leur sélectionneur Didier Deschamps et leur président Noël Le Graët ont déjeuné deux heures au palais présidentiel. Certains étaient venus en famille, comme Bacary Sagna, aperçu avec femme et enfants derrière les portes vitrées de l' costume bleu et chemise blanche, a ensuite longuement salué les supporters qui les attendaient rue du Faubourg-Saint-Honoré. Les Tricolores ont pris des selfies et ont signé des après ce déjeuner, le nouveau chouchou des Français, Antoine Griezmann, a eu un maigre lot de consolation il a été désigné meilleur joueur de l'Euro par l' Bleus vont maintenant rejoindre leur lieu de vacances, chacun de son côté. Ils bénéficient tous d'une rallonge de congés accordée par leur club pour cause de finale de l' Rendez-vous en septembre -Ainsi, Blaise Matuidi va pouvoir se relaxer alors que ses équipiers au Paris SG sont déjà en stage en Autriche depuis trois en vue durant la finale, Moussa Sissoko a fait un crochet à Aulnay-sous-Bois Seine-Saint-Denis, dont il est originaire, pour une réception à la mairie et un discours prononcé devant la foule lundi en fin d' Bleus se retrouveront en sélection en septembre pour le début des qualifications pour le Mondial-2018 en Russie. La journée de lundi n'a pas été celle que l'équipe de France espérait. Les hommes de Deschamps rêvaient d'apporter un quatrième titre majeur à la France après les Euros 1984 et 2000 et le Mondial en bus à impériale était même prêt pour le défilé dans Paris en cas de victoire. Un supporter qui l'avait vu par hasard avait mis sur Twitter une vidéo de ce bus en train de rouler vers la capitale, dimanche avant la finale. "Il n'y a pas grand-chose à dire si ce n'est qu'ils ont perdu et que le bus est rentré au garage", a indiqué à l'AFP un responsable de l'entreprise chargée de la location de ce véhicule, basée en Bretagne. Pas de nuit d'ivresse sur les Champs Elysées, ni même, probablement, de regain de croissance comme après la victoire française au Mondial 1998. Pas non plus sans doute "d'effet Euro" à espérer pour François Hollande, au tréfonds dans les Bise de Koscielny au président -Meurtri par les attentats de 2015, plombé par des mois de conflits sociaux, le pays aurait pu vivre une parenthèse enchantée grâce à une victoire. Elle n'est finalement pas venue, le Portugal s'étant imposé 1 à 0 en d'ailleurs la mine grise des lendemains de défaite que les Bleus avaient gravi le perron de l'Elysée où les attendait François Hollande pour les saluer un à Laurent Koscielny s'est permis de faire la bise au chef de l'État. Les deux hommes sont liés par la ville de Tulle, d'où le défenseur est originaire et dont François Hollande a été joueurs de l'équipe de France avaient quitté vers 12h30 leur hôtel du centre de Paris pour rejoindre l'Élysée, dans un cortège de berlines, des motards leur ouvrant la Bleus étaient détendus en arrivant sur le trottoir devant le palais présidentiel. Paul Pogba, star de la Juventus, arborait des lunettes de vue à montant or, diamants à l'oreille, tandis que Lucas Digne, défenseur de l'AS Rome, faisait tranquillement éclater sa bulle de chewing-gum. Mais le coeur n'y était pas, comme en témoignait le visage fermé d'André-Pierre Gignac. "APG" a eu la balle de match, mais a trouvé un poteau sortant dans les arrêts de jeu du temps réglementaire."On avait envie de ramener ce moment de gloire au peuple français, c'est triste mais il faut relativiser notre défaite", a lâché le défenseur de Séville Adil Rami devant micros et caméras. Programme TV /Euro 2016 Au coeur des BleusDisponible dans une option payanteDocumentaires - SportNon diffusé en ce moment à la télévisionDocumentaires - SportL'année 2016 a été marquée par un titre de vice-championne d'Europe pour l'Equipe de France retour sur la vie des Bleus durant la 2016 a été marquée par un titre de vice-championne d'Europe pour l'Equipe de France retour sur la vie des Bleus durant la Molotov pour regarder la TV diffusé en ce moment à la télévision Publié le 30/05/2016 - 2325 Nantes AFP – C'est toujours bon à prendre sérieusement bousculée en défense et plombée par la fébrilité d'Adil Rami, l'équipe de France est tout de même sortie vainqueur de son premier match de préparation à l'Euro-2016 contre le Cameroun 3-2, lundi à Nantes, sur un coup franc magistral de Dimitri Payet en toute fin de de considérer ces Bleus-là comme des candidats crédibles à la victoire finale à partir du 10 juin devant leur public. Mais les troupes de Didier Deschamps auront au moins réussi l'essentiel préserver une spirale positive et un minimum de sérénité après un début de stage très mouvementé, entre forfaits en tous genres Varane, Mathieu et sélectionneur n'aura globalement pas appris grand chose de neuf à l'issue de la 8e victoire de la saison de ses joueurs en 9 matches, la 3e d'affilée. Il a eu confirmation que sa défense, privée de deux joueurs majeurs Varane, Sakho et obligée de s'articuler dans l'axe autour du duo Rami-Koscielny, restait le maillon faible de sa formation, à l'image des deux buts encaissés comme à la parade et inscrits par Vincent Aboubakar 22e et Eric Choupo-Moting 88e.Alors que l'attaque regorge de solutions, à l'image du culot de Kingsley Coman, passeur décisif sur l'ouverture du score de Blaise Matuidi 20e sur l'une de ses percées dévastatrices, ou d'Olivier Giroud, auteur du 2e but 41e. Et que dire de Payet, qui a délivré les siens en trouvant la lucarne du Cameroun à la 90e minute, sauvant les Bleus d'une déconvenue malvenue dans l'optique de l' Une attaque de feu -De quoi faire chavirer la Beaujoire, ravie de fêter l'ancien Canari et le succès étriqué des Bleus. Même sans Karim Benzema et en attendant l'incorporation d'Antoine Griezmann, qui rejoindra le groupe à partir de mardi pour le stage en Autriche, le secteur offensif tricolore maintient une redoutable efficacité, dans la lignée des 7 réalisations en deux rencontres réussies en mars contre les Pays-Bas 3-2 et la Russie 4-2.Giroud a beau avoir été chahuté par le public nantais à l'annonce de la composition d'équipe, il n'a pas à rougir de ses statistiques sur le plan international 15 buts en 48 sélections après avoir longtemps été dans l'ombre de Benzema. Il aurait même pu s'offrir un doublé en seconde période sans un face-à-face manqué avec le gardien camerounais Fabrice Ondoa 35e.La magnifique passe décisive de Paul Pogba à destination de l'attaquant d'Arsenal a également démontré que le destin des Bleus à l'Euro dépendra forcément des éclairs de génie du milieu de la Juventus à soigner la défense. Et là, le chantier est immense. Deschamps avait décidé de titulariser Rami en charnière centrale aux côtés de Koscielny, deux joueurs qui n'avaient plus évolué ensemble en sélection depuis le quart de finale de l'Euro-2012 perdu face à l'Espagne 2-0. L'expérience a tourné court, tant la copie de Rami a été Une défense en chantier -Devancé par Karl Toko Ekambi 13e, puis par Vincent Aboubakar 18e, le joueur du FC Séville, qui faisait son retour en bleu après trois ans d'absence, a été totalement dépassé sur l'égalisation d'Aboubakar 22e.La seconde réalisation camerounaise est elle consécutive à des erreurs monumentales des deux défenseurs centraux 20e et 21e buts encaissés en 19 matches depuis la Coupe du monde 2014 témoignent de l'urgence de la situation pour une équipe qui espère atteindre au moins les demi-finales de l'Euro à la défense sera donc encore à surveiller au cours du deuxième et dernier match de préparation, samedi contre l'Ecosse, soit six jours seulement avant de plonger dans le grand bain du Championnat d'Europe face à la Roumanie. © 2016 AFP Pour les Bleus, c’est l’heure de vérité. Après leur première défaite concédée dans cet Euro, samedi dernier face à l’Islande 21-29, ils savaient que ce dernier match du tour principal, face au Danemark ce mercredi 20h30, déciderait de leur sort. Après leur succès face au Monténégro 36-27, les joueurs de Guillaume Gille s’apprêtent désormais à disputer un quart de finale qui ne dit pas son nom. Où les champions olympiques, tels des gladiateurs, vont jouer "un match à la vie à la mort", pour reprendre les mots de leur capitaine Valentin Porte. Suivez une année complète de sport et d’événements sur Eurosport pour 69,99 euros !"On arrive sur un moment de bascule, un moment décisif de cette compétition", a de son côté posé Guillaume Gille, le sélectionneur qui, après cinq jours d’isolement dans sa chambre en raison du Covid, espère pouvoir vivre ce moment sur le terrain. Si les supporters français ont déjà le cœur serré à l’approche du coup d’envoi, les Bleus, eux, sont prêts à livrer un combat dantesque face aux doubles champions du monde en titre, alors que la victoire de lundi, après le coup de froid infligé par les Islandais, a "fait du bien aux têtes de tout le monde", toujours selon de retour en équipe de France après "une période extrêmement délicate"02/04/2022 À 1126 Une partie de l’histoire de cette compétition se joue ce mercredi. C’est ce qui donne au match face au Danemark de son sel et de sa dramaturgieEt la bonne humeur véhiculée par le Montpelliérain, ainsi que celle de son coach, lors de la visioconférence de presse organisée mardi, est venue donner une preuve supplémentaire que c’est non pas la peur au ventre mais avec des dents de loups que l’équipe de France compte croquer dans ce rendez-vous. "A partir du moment où on fait ce métier, on est sans cesse sur ce fil du résultat ou de la performance, c’est ce qui rend ces moments spéciaux. Une partie de l’histoire de cette compétition se joue demain [mercredi]. C’est ce qui lui donne [au match] de son sel et de sa dramaturgie", savourait Gille. Qui a accueilli, comme le reste de la délégation tricolore, avec joie la défaite de l’Islande face à la Croatie lundi 22-23. Dika Mem lors de France - Monténégro à l'Euro le 24 janvier 2022 à BudapestCrédit Getty ImagesCar la désillusion vécue par les coéquipiers de Viktor Hallgrimsson a considérablement simplifié la tâche des Bleus, qui n'ont plus besoin "que" d’un nul à défaut d’une victoire pour accéder, pour la troisième fois en un an, au dernier carré d’une grande compétition internationale. Et encore, si l’Islande, fortement touchée par le Covid-19 et qui tire un peu la langue, venait à perdre face au Monténégro ce mercredi 15h30, les Français obtiendraient leur billet sans même jouer. "Mais on ne va pas attendre 17h30 mercredi pour préparer notre match", a tancé Gille, lorsque la question lui a été posée de savoir quelle importance il accordait au match de leur unique bourreau de l’Euro, pour le moment. Si j’étais Danois, dans ma tête, j’aurais envie de battre l’équipe de France qui m’a privé du titre olympique il y a quelques moisEt pour cause, son équipe a d’autres chats à fouetter, alors qu’elle s’apprête à défier une équipe qui, comme elle, est favorite à la victoire finale. Et qu’elle connaît plus que bien. Six mois après Tokyo, où les Bleus avaient glané la médaille d’or au nez et à la barbe de Mikkel Hansen et des Danois en finale 25-23, ce rendez-vous aura des faux airs de déjà-vu. Cette confrontation sera en effet la huitième face aux Nordiques en phase finale d’une compétition internationale depuis l’Euro 2014, la dernière édition remportée par la France 41-32… face aux Danois. Sans compter les innombrables confrontations en Golden League ou en matches amicaux. Parmi ces matches, on retient notamment les défaites cuisantes en finale des JO 2016 26-28 ou en demie du Mondial 2019 30-38. Et donc, la revanche tricolore en août dernier. Hansen et Gidsel têtes de proue d'une armada impressionnanteDe quoi imaginer des Danois, qui sont, eux, déjà qualifiés pour les demies et voudront seulement préserver leur première place du groupe I, revanchards ce mercredi ? "Je ne pense pas, c’est un contexte complètement différent", a estimé Dika Mem, l’arrière droit des Bleus, rejoint par son sélectionneur. "Si on compare les deux équipes entre Tokyo et aujourd’hui, NDLR, il y a beaucoup de changements. Qui dit effectif qui a évolué dit aussi des forces et des ressources différentes", a indiqué Guillaume Gille. Valentin Porte, lui, imagine "Si j’étais Danois, dans ma tête, j’aurais envie de battre l’équipe de France qui m’a privé du titre olympique il y a quelques mois. A leur place, évidemment que je ferais en sorte d’éliminer un adversaire comme la France qui fait partie des favoris pour une médaille d’or. Mais est-ce que je voudrais me griller alors que j’ai une demi-finale à jouer dans deux jours ? Je ne sais pas sourire, mais ça c’est leur problème", balaie le polyvalent arrière ou ailier gauche. Tandis que lundi, en zone mixte, le défenseur Henrik Mollgaard a indiqué aux journalistes présents qu’il ne se priverait pas de profiter de l’opportunité de "renvoyer les Français chez eux", et que le sélectionneur Nikolaj Jakobsen a laissé entendre en conférence de presse qu’il ferait vraisemblablement tourner, la menace reste grande. Si on s’amuse à les regarder on peut le payer le prix fort"Même leurs rotations ont assez de qualité pour battre n’importe qui", nuance Porte, alors que son partenaire, Mem, a décrit "une équipe qui joue bien au handball, qui est agréable à regarder. Si on s’amuse à les regarder on peut le payer le prix fort". Avec un Hansen qui enchaîne les buts 39 réalisations à 70% de réussite, un Mathias Gidsel à la touche de magicien en attaque, un collectif bien huilé, donc, et une paire de gardien redoutable, composée de Kevin Moller 45% d’arrêts et de celui nommé meilleur handballeur du monde en 2019, Niklas Landin, les écueils sont partout face à une telle armada, qui a remporté ses six rencontres dans cet Euro. Avec toujours ce sentiment de marge conservée sur ses adversaires. "J’ai l’impression que c’est la même équipe que depuis deux ans, elle ne me surprend pas, dit Valentin Porte. On connait la qualité de cette équipe, de ces joueurs, mais aussi leurs défauts", expose le Montpelliérain, pour lequel il faut, pour dérégler cette équipe, "reprendre une activité défensive qui ne leur permet pas de dérouler. J’ai en tête la finale des JO, où on les a secoués. Notre assise défensive est en place, notre jeu de percussion et de transition en attaque peut leur poser des problèmes. Sans leur manquer de respect, je pense que la défense n’est pas forcément leur point fort". "Il va falloir une grosse défense, et continuer à faire ce qu’on fait de bien, à savoir monter les ballons et être le plus précis possible en attaque", a acquiescé de rêve et finish de fou le résumé du sacre des Bleus"Contre une équipe d’un tel calibre, on ne peut pas se concentrer uniquement sur un secteur de jeu, insiste Guillaume Gille. Sur ce type de rencontre, on a besoin d’être performants dans l’ensemble de nos secteurs et des phases de jeu, c’est ça le défi, il faut être au rendez-vous de ce moment de bascule", exhorte le sélectionneur, qui peut compter sur une défense retrouvée, avec le retour de Karl Konan et Ludovic Fabregas, encore grippé lundi mais dont l’état de santé va crescendo, dans le secteur central. Et sur l’éclosion du Nantais Aymeric Minne sur sa base arrière, lui qui est devenu, après deux prestations de haut vol face aux Pays-Bas et au Monténégro, le meilleur marqueur des Bleus 25 buts dans cette compétition. Dans ce secteur, il peut aussi compter sur un Nikola Karabatic toujours aussi redoutable, à 37 ans, motivé par la quête d’une dixième médaille d’or en équipe nationale. Le banc de l'équipe de France célèbre un but tricolore face au MonténégroCrédit Getty ImagesLa France toujours privée de Kentin Mahé positif au covid-19 et qui sera de retour, au mieux, pour les demies en cas de qualification, c’est le joueur du PSG qui assure, avec Minne, le rôle de demi-centre. Et qui rassure toute l’équipe, à commencer par l’autre pion essentiel des Tricolores en attaque, Dika Mem "Le fait qu’il soit menaçant sur les tirs de loin ou sur ses passes au pivot, cela fait que les défenses restent plus aplaties, ou se concentrent sur lui. Ça me permet de prendre l’intervalle, ça crée plus de jeu pour moi", a apprécié le Barcelonais mardi. Et dans les buts, la bonne prestation de Pardin 10 arrêts après le carton rouge reçu par Gérard face au Monténégro, montre que cette équipe a des ressources "Wesley fait partie de cette force collective qu’on peut avoir. Dans une compétition comme l’Euro, il faut compter sur tout le monde", l’a ainsi félicité Valentin Porte. Pour continuer sa course aux médailles, il faudra, en effet, que toute l’équipe de France pousse pour renverser la montagne d'EuropeBredouilles et frustrés, mais tournés vers l'avenir "Cette équipe de France a de la gueule !"30/01/2022 À 1824Championnat d'EuropeUn goût d'amertume pour conclure30/01/2022 À 1621

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